Dans le cadre d’ Ecole et Cinéma, nous avons vu le film « Une année polaire » dans la salle J. Gabin.

Voici ce qui nous reste en tête, quelques jours plus tard :

Le personnage principal, c’est Anders, un Danois de 29 ans qui débarque au Groënland pour faire l’école à des enfants Inuits d’un tout petit village.

Le Groënland appartient au Danemark. Du coup, Anders qui est danois n’est pas le bienvenu car les Danois ont colonisé le Groënland. Ils ont pris les ressources du pays. Ils obligent les enfants Inuits à apprendre le Danois, comme pour effacer leurs origines. Ses élèves ne sont pas gentils avec lui, jusqu’au moment où il invite un chasseur Inuit en classe. Tous les enfants ne vont pas à l’école car pour les parents, l’école danoise n’est pas le plus important. Le plus important, c’est la survie.

La manière de vivre des Inuits n’est pas comme la nôtre. Leur vie est très rude.

Ils ne mangent pas comme nous : ils ne mangent pas beaucoup, presque que du phoque et du poisson (le saumon surtout qu’ils pêchent en faisant des trous dans la glace). Les Inuits chassent le phoque, l’ours, le narval, pour vivre et nourrir leurs chiens.

Ils ne tuent pas les ourses polaires qui ont des petits pour la survie de l’espèce.

Tous les garçons rêvent d’être chasseurs mais il faut apprendre jeune. En effet, Ils partent étudier au collège et quand ils reviennent à 16 ans, il trop tard pour bien apprendre.

Ils se déplacent en traîneaux : tout le monde a des chiens. Anders croit que c’est facile de manipuler un traîneau mais il faudra un peu de temps pour qu’il contrôle ses chiens.

Les Inuits savent construire des igloos pour se protéger du froid. Ils doivent se débrouiller avec ce qu’ils ont sur place car la ville la plus proche est très loin.

Quand il y a un mort, on le met dans un coffre de bois et, quand il n’y a plus de neige, on l’enterre.

D’après eux, pour appeler les aurores boréales, il faut siffler. Et pour les repousser, il faut lancer des crottes de chien en l’air ! Pas grave, elles sont gelées !

Ce film est dépaysant, un voyage sans prendre l’avion !

Les CM d’Agnès Aubert