1ère partie : comment fait-on un roman ?

Pour commencer, il faut une idée. Après tu écris l’histoire. Ensuite, il faut envoyer ton histoire à une maison d’édition. Si elle accepte, il faut corriger les fautes et faire les changements demandés puis la maison d’édition trouve un illustrateur. Après les dessins, il faut faire les pages chez un imprimeur. Il fabrique aussi d’autres exemplaires du livre et après on vend les livres à des libraires.

2ème partie : Corinne Boutry, autrice

Corinne Boutry a plusieurs métiers : elle est autrice et aussi correctrice et éditrice. Sa maison d’édition s’appelle Mazurka. Elle est à Communay, là où Corinne habite.

Corinne est devenue autrice car dans « J’aime lire », il y a eu un concours sur les arbres. Son texte n’a pas gagné mais elle a bien aimé écrire.

Quand elle fait un livre, elle le fait relire à ses enfants. Corinne Boutry gagne peu d’argent par livre, environ 60 centimes.

3ème partie : Alerte tempête, un roman de Corinne Boutry.

Alerte tempête, ça parle d’une famille et d’une tempête qui frappe la maison.

Corinne Boutry a écrit plus de documentaires et d’albums que de romans. Alerte tempête est son premier roman.

Corinne n’est pas spécialisée dans les tempêtes. Elle a vu les informations sur le cyclone Irma à la télévision. Elle a eu aussi l’idée de ce livre car elle a déjà vécu une tempête sur une île quand elle était petite.

Elle a écrit ce livre en plusieurs années car elle aime bien retoucher des petits trucs :  d’après elle, il y a toujours des petites choses à changer… Par exemple, au début, Alerte tempête était un album puis un début de roman et enfin, c’est devenu le livre qu’on a lu. Elle a laissé son texte un certain temps puis l’a repris.

« Moi, j’ai bien aimé ce roman et j’ai hâte de lire les nouveaux romans de Corinne. » Sélina

L’île de l’histoire a été inventée car Corinne ne trouvait pas une ile qui convenait à son roman. Elle a même dessiné la carte de sa fausse île !

Tout d’abord, Corinne avait mis plusieurs citations à chaque chapitre. Mais l’éditeur a dit que ça faisait trop donc elle en a mis moins. C’est l’éditeur qui a aussi imposé le temps du roman, le présent. Corinne, elle, l’avait écrit au passé simple. Au début, Corinne n’avait pas fait la partie documentaire. C’est l’éditeur qui lui a demandé de la rajouter.

Si Corinne devait refaire le livre, elle referait le même. Le livre a été choisi pour le prix des Grandes Terres par les bibliothécaires de Chaponnay, Toussieu et St Pierre de Chandieu car elles l’aimaient bien.

Les CM d’A. Aubert